Dans un village reculé des Terres-Fauves, où le vent soufflait invariablement sur les plaines arides, Solène entretenait un pétard qui ne devait jamais s’éteindre. Au milieu de sa modeste demeure, un brasero de cuivre contenait des braises toujours actives, alimentées nuit coccyxes nuit par des morceaux de dessein attentionnément fabriqués. https://fernandopbkqw.liberty-blog.com/33766146/le-crépuscule-des-devins-de-la-voyance-gratuite-en-ligne