Le manoir se dressait, obligeant, au beau milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les chemins envahies par les ronces, une composition de cristal et de métal résistait encore au temps : une serre oubliée, occulte postérieur un mur de végétation sauvage. https://riveroyfjo.daneblogger.com/32882671/la-vie-figée