Le silence pesait lourdement dans l’horlogerie oubliée, simplement troublé par le tic-tac âpre des horloges accrochées aux murs. Étienne avançait doucement entre les étagères recouvertes de poussière, suivant chaque cadran, n'importe quel engrenage figé ou en mouvement. Ici, les siècles ne suivait plus une seule guidage. Il se fragmentait, s’étirait, https://michaelv233atl4.blogolenta.com/profile