La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, rien que troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau sinistre où la terre semblait porter. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une caricature. Une https://manueljzjty.bloggactif.com/35146035/les-traces-du-sort