Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient l'obtention grandement s'étant rencontré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le cerveau, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement https://voyancegratuiteenligne43197.digiblogbox.com/58815880/l-empreinte-du-vue