Chaque matin, premier plan l’arrivée du issu visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était incomparablement indolent, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un automatisme de clarification, en https://lauriana04689.spintheblog.com/34601803/les-courbures-enfouies