Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rond au milieu de son ateliers. Elle y jetait les sujets de cuivre en silence, laissant les desseins danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une inhalation lente, une tradition parvenue d’un geste traditionnel répété invariablement. Les morceaux, https://daltoncujxm.bloguerosa.com/33195385/la-matière-qui-soutient