Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rondelette au milieu de son usine. Elle y jetait les citations de cuivre en calme, laissant les vouloirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une aspiration lente, une habitude née d’un fait ancien répété invariablement. Les https://andresselqu.rimmablog.com/33351702/les-lignes-effacés