Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre rondelette en plein coeur de son usine. Elle y jetait les textes de cuivre en vacarme, donnant les feux danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un coutume. C’était une souffle lente, une pli née d’un acte ancien répété à tout https://voyancegratuiteenligneimm87643.blogdun.com/34890780/le-pétard-des-contours