Le message est arrivé quelques heures postérieurement. Il ne contenait pas beaucoup de silhouette. Mais il disait ce qu’il fallait. Pas ce que j’attendais. Ce que je n’arrivais pas à me expliquer. Une phrase m’a frappé. Pas violente. Juste juste. Elle m’a stoppé. Puis elle m’a recentré. Je l’ai relue https://simonkruvv.onzeblog.com/36230624/ce-que-la-simplicité-du-sms-permet-de-transmettre